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Elle referma la porte derrière elle, bouleversant une lente inspiration avant de s’avancer jusqu’à la table. Elle ne semblait pas hésitante, mais pas trop épuisée, comme par exemple si elle avait marché longtemps évident d’oser sourdre ici. Sans attendre, Marianne lui désigna le fauteuil en face d’elle. L’échange de regards entre elles était suffisant. Il y avait de temps à autre des invités qui n’avaient nul besoin de exprimer pour joindre ce qu’ils ressentaient. La jolie voyance, dans ces moments-là, fonctionnait de façon identique à un liégeois silencieux. D’un fait fluide, Marianne prit son sport de cartes et le battit avec une lenteur maîtrisée. Chaque carte possédait sa personnelle intentionnalité, et il était imposant, de les transférer s’imprégner de l’aura de la cliente. Elle déposa ultérieurement le sport sur la table et invita la personne à en tamiser une part. Ses main tremblèrent lentement lorsqu’elle toucha les cartes, signifiant d’une couleur enfouie prête à resurgir.